C'est un départ !
Bienvenue dans ce tout nouveau site d'observations des médias québécois. C'est avec un peu de nervosité que j'écris ce premier texte. Je sais très bien que ce site ne fera pas plaisir à tout le monde, mais je suis convaincu qu'il est nécessaire.J'ai lancé l'idée de cet observatoire pour la première fois sur la Journa-Liste le 29 octobre 2004. J'ai reçu deux réponses...
"Tu sors d'où toi? T'as pas remarqué qu'on s'en contrefichait de ces histoires? J'ai justement écrit un pavé à ce sujet sur cette même liste, cette semaine... Putaingue, je serais partant quand même."
"Bonjour, Je suis étudiante en science politique et je travaille plus particulièrement sur la communication politique. J'approuve à 100% votre idée et je crois que cela serait nécessaire au québec. Donc, si jamais vous avez besoin d'aide ou de support pour partir un projet....faites moi signe!!!"
Le premier n'a pas donné suite au deux courriels que lui ai renvoyé, mais la deuxième m'a démontré qu'elle pouvait passer de la parole aux actes. J'ai eu l'occasion de la connaître un peu à travers nos échanges de courriel et je pense qu'elle est une jeune femme très dynamique et très intelligente. Je la remercie beaucoup de se lancer dans cette aventure avec moi.
Je ne suis pas journaliste, je ne travaille pas dans le domaine de l'information et je ne suis pas un professionnel de l'écriture. Ce qui m'a inspiré cette idée, ce sont mes nombreuses lectures sur l'excellent site ACRIMED(Action Critique Média). Si je participe à ce projet, c'est que je trouve que la qualité de l'information dans les médias québécois doit être elle aussi, remise en question. La propagande et la désinformation ne sont pas des mots qu'on ne retrouve que dans les romans de science-fiction. Ils sont de plus en plus présent à la UNE de nos journaux et dans nos bulletins de nouvelles.
Vous connaissez peut-être l'expression "Dormez citoyens, les médias veillent !" Si ce site arrive à la changer pour "Attention médias, les citoyens vous surveillent !", nous aurons réussi notre pari !
Guy Vandal
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